En France, l’enseignement de la langue tamoule est dispensé depuis 1868 à l’Inalco, alors appelé l’Ecole impériale des langues orientales. Aujourd’hui, l’Inalco est un des rares grands établissements publics européens où l’on peut apprendre cette langue dravidienne. Notre ambition est de nous inscrire dans la continuité de cette tradition d’enseignement et de valoriser l’apprentissage de cette langue en association avec les recherches en sciences humaines et sociales. L’enseignement à l’Inalco, actuellement orienté vers toutes les formes de la langue tamoule (classique, contemporaine, écrite et orale), permet un accès direct aux sources autant écrites qu’orales.
Pour favoriser le développement des études tamoules et pour replacer l’Inalco au cœur de l’enseignement du tamoul en association avec la recherche, nous mettons en place un cycle de conférences scientifiques annuel intitulé « Mondes tamouls », qui prendra la forme de journées d’études.
Ce projet, sur le long terme, a trois objectifs principaux : donner une visibilité aux recherches liées au domaine tamoul, initier et intéresser les étudiants en Licence et Master aux divers objets de recherche et mettre en place des collaborations institutionnelles et internationales.
Le thème retenu pour la première journée d’études, qui aura lieu le vendredi 16 juin 2017, est « Tamoul : regards pluridisciplinaires ». Cette première édition, introductive et générale, a vocation à réunir à l’Inalco des chercheurs et enseignants de différentes disciplines, travaillant sur le domaine tamoul et membres de diverses équipes de recherche nationales pour présenter l’état actuel de la recherche française.
Organisation et contact :
Uthaya Veluppillai (uthaya.veluppillai@inalco.fr)
Source: http://www.inalco.fr/evenement/cycle-conferences-mondes-tamouls-premiere-journee-etudes
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
DM (13 juin 2017). Cycle de conférences “Mondes tamouls” Première journée d’études à l’INALCO, le vendredi 16 juin 2017. SRI LANKA & DIASPORAS. Consulté le 17 janvier 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/u8t8